Monsieur le président de la commission des finances, je trouve intéressant que nous puissions présenter deux visions économiques différentes à l'occasion de ce débat.
Cependant je ne voudrais pas qu'on cède à la tentation – toujours présente dans cet hémicycle – des étiquettes. Vous me reprochez d'être néolibéral. Pourtant, je ne suis pas certain qu'un néolibéral aurait dépensé 100 milliards d'euros pour financer les salaires pendant la crise ,