Je vais compléter la réponse développée précédemment par Gérald Darmanin.
Nous partageons votre indignation, comme celle de tous ceux qui sont victimes de violence, physique – comme Paul François ; verbale – c'est parfois le cas ; sur les biens et les outils de travail. Nous avons besoin de nous mettre d'accord pour dénoncer toutes les violences.
Gérald Darmanin l'a souligné, les moyens de la police sont à la disposition de la justice, qui a été saisie de griefs très graves : séquestration, violence en réunion, administration de substances – même si on n'en connaît pas encore la nature. Il n'y a pas de tri : pour Paul François comme pour toutes les enquêtes portant sur des faits de violence, diligence sera faite par les moyens de police et de justice.