Samedi 11 février, à Angoulême et dans de nombreuses villes de France, il y avait dans le cortège des femmes et des hommes qui contestaient votre réforme, des gens calmes, déterminés et dignes, exprimant une colère froide mais prête à exploser. Loin de s'affaiblir, le mouvement de contestation s'amplifie. Vous avez donc perdu la bataille de l'opinion. Les huit centrales de l'intersyndicale sont prêtes à durcir le mouvement en mettant la France à l'arrêt dès le 7 mars. Le compte à rebours a commencé.