Ce choix de la protection, nous l'avons fait sans jamais perdre de vue notre boussole : l'avenir. Par-delà les crises, nous n'avons jamais cessé d'agir, avec deux lignes de force majeures : la valorisation du travail, la transition écologique et énergétique. Or nous n'aurions pu ni protéger sur le moment, ni préparer l'avenir si, dès le début du premier quinquennat d'Emmanuel Macron, nous n'avions remis de l'ordre dans nos comptes. C'est parce que notre pays a regagné sa crédibilité en repassant en 2018 sous le seuil européen des 3 % de déficit que nous avons pu emprunter pour protéger les Français alors que sévissait le covid-19.