qui représentent pas moins de 350 euros par Françaises et Français versés à nos propres employeurs. Les conditions que nous mettions sur la table pouvaient être la hausse des salaires, l'égalité entre les femmes et les hommes, ou même l'absence de présence en paradis fiscal. Mais il n'y a plus, dans ce pays, aucune horreur que puisse commettre une multinationale, pour s'attirer vos foudres. Ainsi, avec vous, nous ne sommes plus uniquement dans un Parlement, mais dans un conseil d'administration géant, qui joue avec l'argent des Français.