Nous vous proposons d'imposer aux employeurs un certain nombre de règles et de contraintes, qui devront être fixées au plan interprofessionnel. Vous vous y refusez, en cohérence avec la politique du Gouvernement car, pour vous, la place des organisations syndicales est exclusivement dans les entreprises. Vous vous targuez d'avoir organisé de grandes concertations sur ce projet de réforme. Or nous savons comment elles ont été conduites : c'était à prendre ou à laisser ! Voilà votre conception du dialogue social ! Tout cela ne sert qu'à masquer le fait que votre réforme condamnera des milliers de salariés à la pauvreté.