Le modèle suédois repose à la fois sur la capitalisation et sur la répartition. C'est la raison de son échec. Nous proposons au contraire de sauver le système par répartition. Mais celui-ci est déficitaire de 30 milliards d'euros tous les ans, financés par la dette. Vous voulez en ajouter 15 autres. Ce n'est pas supportable. Monsieur Ruffin, je ne vous comprends pas : comment pouvez-vous jouer sur les peurs de cette façon ? Ne voulez-vous pas, vous aussi, la survie de notre système ?