Nous évoquons le régime spécial dont bénéficient des salariés qui exercent des métiers qui, chacun le reconnaît, sont difficiles. Un tel régime devrait être étendu à tous ceux qui les exercent, quelle que soit l'entreprise. Les troubles musculo-squelettiques sont reconnus ; il devrait en être de même de l'exposition aux pollutions. Nous pourrions également nous pencher sur la situation des taxis et des véhicules de transport avec chauffeur dont certains sont des micro-entrepreneurs éloignés de toute protection sociale.
Votre réflexion est purement idéologique : vous voyez des privilèges là où la vie et la santé sont en jeu.