Nous devons instaurer un capital décès pour les personnes et les familles en difficulté, nous l'avons réclamé régulièrement sur ces bancs. Aujourd'hui, le premier souci de la femme quand son mari décède n'est pas d'ordre humain mais financier. Elle se demande comment elle paiera les obsèques, quelle caisse de solidarité elle sollicitera, comment elle ira faire l'aumône auprès de l'assistante sociale et du député. Franchement, dans notre pays, il n'est pas normal que l'égalité ne soit pas rétablie au moment où le fil de la vie est coupé.