Vous avez évoqué les difficultés de lecture et d'écriture à l'entrée en sixième. Pour éviter de repousser ces problématiques, ne faudrait-il pas généraliser l'engagement d'un maximum de vingt-quatre élèves par classe sur toutes les classes de primaire ?
Ensuite, je vous alerte sur les difficultés rencontrées par les assistantes sociales de l'éducation nationale, dont le rôle est pourtant primordial. Enfin, l'éducation sexuelle doit évoluer selon moi : ne devrait-on pas en faire une matière à part entière et la dispenser sur l'ensemble de la scolarité, avec une éducation au corps et au droit des enfants dès la maternelle ?