La rotation du personnel est aujourd'hui plus importante sur cet établissement. Nous avons donc à la fois un personnel aguerri, mais qui est en phase de renouvellement.
En ce qui concerne Mme Puglierini, la gestion du corps des personnels de direction est complexe. À partir du moment où un processus de mobilité est engagé, il revient à la personne concernée de faire le choix de partir ou de rester. Mme Puglierini aurait pu partir, mais elle n'avait alors pas été retenue pour le poste sur lequel elle avait candidaté, en l'occurrence celui de Béziers. Par ailleurs, il est du devoir de l'administration de faire respecter cette règle des six ans sur un poste. Nous avons d'ailleurs reçu des instructions très claires du directeur de l'administration pénitentiaire, afin que ces six années ne soient pas dépassées. Toutes les situations qui ne respectaient pas cette directive ont été résolues au sein de notre direction interrégionale au moment où je vous parle. Mme Puglierini a émis un second souhait de mobilité et a obtenu le poste sur lequel elle s'était positionnée quasiment dans le temps imparti de ces six années au maximum.