Tout ce qui est excessif est insignifiant. La précarité estudiantine est un fait avéré. En revanche, j'ai appelé ce matin le restaurant universitaire de Paris 8, où j'ai fait mes études et que Stéphane Peu connaît lui aussi très bien. On m'a dit que le restaurant n'était pas saturé. Par ailleurs, ce n'est pas parce qu'on baisse le prix que la qualité est dégradée. Sur ce point, je vais dans le même sens que Géraldine Bannier : il faut mettre l'accent sur la qualité en matière d'alimentation, aussi bien dans les restaurants universitaires que dans les cantines scolaires de nos collectivités. Néanmoins, je ne voterai pas en faveur de cet amendement.