Nous serions d'accord pour fixer des seuils de 50 % pour le bio et de 20 % pour les produits issus de circuits courts – nous avions d'ailleurs déposé un amendement en ce sens, jugé irrecevable pour de mystérieuses raisons –, mais nous ne saurions accepter l'obligation de servir deux menus végétariens par semaine. Cette disposition est hors sujet : c'est une contrainte alimentaire ou une norme culinaire qui n'ont rien à faire dans le présent texte. Après vous être fait le chantre de l'éco-anxiété, monsieur Raux, veillez à ne pas devenir le Savonarole des cantines.