Ma première question concerne les étudiants dans les territoires ruraux. Comment trouver des dispositifs qui leur permettent aussi d'accéder à des repas à tarif réduit ?
Ma seconde question est plus philosophique. Je ne comprends pas, alors que vous êtes attachée aux principes de progressivité et de solidarité, pourquoi vous souhaitez que des jeunes issus de familles aisées bénéficient d'un tarif réduit dont ils n'ont pas besoin. Pourquoi renoncer à un critère social permettant d'assurer une progressivité ?