En Europe, cela aboutit à fixer, dans un processus sans fin, le prix de l'énergie en fonction de la dernière centrale mise en service.
Madame la ministre, quand je vous entends affirmer que l'ARENH protège les entreprises et les collectivités, j'ai l'impression que nous ne vivons pas dans le même monde. Dans ma circonscription des Deux-Sèvres, certaines entreprises voient leur facture d'électricité grimper de 200 % ou de 300 %. Plusieurs collectivités sont contraintes de fermer les piscines parce qu'elles ne peuvent plus payer leurs factures d'électricité. Moralité : il faut tout remettre à plat et nous appuyer sur les circonstances exceptionnelles que nous vivons pour suspendre les directives européennes. Organisons le retour au tarif réglementé pour tout le monde, les particuliers, les collectivités, les entreprises !