Le fait nouveau, qui n'était pas anticipable dans la planification énergétique, est le risque de suppression de l'approvisionnement en gaz d'origine russe, lequel représente 40 % des approvisionnements européens et 17 % des approvisionnements français. J'insiste sur le fait que nous ne remettons pas en question la sortie des centrales à charbon – ce principe-là est clair –, non plus que nos engagements concernant la trajectoire française d'émissions de CO
Enfin, puisque je pense que tout le monde est prêt, sur ces bancs, à développer les énergies renouvelables,…