Dès 2017, nous annoncions à Édouard Philippe et à sa majorité que ce n'était pas le moment de fermer les centrales à charbon : il fallait auparavant garantir notre capacité de production d'électricité, pour nos concitoyens.
Pourtant, c'est devenu un dogme, parce qu'Emmanuel Macron l'avait annoncé, et nous nous sommes engagés dans la fermeture des centrales. Or nous craignons aujourd'hui de ne pouvoir maintenir une fourniture d'électricité suffisante et nous risquons le blackout total. Dans un pays comme le nôtre, c'est mettre en danger l'économie mais aussi des vies.