Aujourd'hui, le coût supplémentaire du rabais accordé aux boursiers précaires est de 50 millions ; l'État le compense totalement. Si demain tous les repas sont facturés 1 euro, le coût supplémentaire s'élèvera au minimum à 90 millions, pour les seuls repas ; il faudra probablement ajouter des frais supplémentaires liés à une fréquentation accrue, comme l'organisation d'un second service.