Chaque famille ultramarine fait un sacrifice financier quand elle permet à l'un des siens d'étudier. Nous avons connu des drames, avec le suicide de certains jeunes Mahorais, désespérés par le retard de paiement des bourses, tragiquement isolés, incapables d'avouer qu'ils avaient faim, ignorants que certaines aides étaient disponibles, perdus face aux démarches administratives.