Alors que le tout-gratuit ravage déjà le domaine de la santé, vous rêvez de l'étendre à tous les secteurs d'activité. Loin d'être un idéal, c'est le plus sûr visage du cauchemar : celui d'un monde où plus rien n'aurait de valeur.
Notre position est donc simple : acceptez notre proposition de deux heures d'engagement en contrepartie du repas à 1 euro et soutenez nos amendements, ou bien, collègues socialistes et de la NUPES, faites sans nous. La balle est dans votre camp.