Enfin, certains estiment qu'il faudrait presque instaurer des travaux d'intérêt général préalables et établir des devoirs en contrepartie du droit au repas à 1 euro. Comme si, pour pouvoir manger, il fallait s'acquitter d'abord d'un devoir. Soyons sérieux !
Vous l'avez rappelé, madame la ministre, lors de la crise sanitaire, vous avez instauré une mesure analogue à celle qui est ici proposée, et elle a largement fonctionné. La situation des étudiants en France serait-elle désormais moins marquée par la crise qu'à l'époque ? La réponse à cette question est claire et partagée : c'est non !