Par ailleurs, la baisse du tarif des tickets de restaurant ne doit pas se traduire par une baisse de la qualité des repas.
En réalité, tant que nous ne réglerons pas le problème de la précarité étudiante, tant que l'autonomie financière et matérielle de chacune et de chacun ne sera pas garantie, nous serons contraints de recourir à des palliatifs, forcément imparfaits.
Les députés du groupe GDR défendent depuis des années le projet d'un revenu étudiant ; nous avons, sous la précédente législature, fait une proposition en ce sens. Quant à la NUPES, elle a soutenu récemment un projet d'allocation d'autonomie. Les solutions existent. Pourquoi repousser systématiquement toute mesure ambitieuse de nature à traiter le problème en amont ?