Ces derniers se tournent alors vers les associations caritatives, et nous avons tous en tête les images insupportables de ces files d'attente formées d'étudiants en quête d'un repas.
Nous voterons cette proposition de loi d'urgence, car elle permet de remédier à des situations concrètes de grande précarité. C'est à raison que le groupe Socialistes et apparentés a inscrit cette question à l'ordre du jour de l'Assemblée nationale, et c'est à tort que la majorité et ses alliés ont vidé ce texte de sa substance.