Je vous remercie, mesdames et messieurs les députés, de votre large soutien à ce projet de loi. Je voudrais apporter quelques précisions en réponse aux questions soulevées. S'agissant des coûts, d'abord, il n'est pas possible de les estimer puisque l'accord porte sur un cadre juridique : ils dépendront des actions et des besoins à venir. Nous espérons qu'ils seront les plus faibles possible, car ces besoins seront en grande partie liés à des catastrophes naturelles. L'important, c'est qu'en dehors de ces événements, l'accord permettra aux forces armées aux Antilles – qui le demandent – de s'entraîner, notamment aux évacuations. Au sujet des frontières, qu'un certain nombre d'entre vous avez évoquées, je puis vous assurer que nous progressons ; j'ai bien noté le souhait de certains d'aller vers un accord de coopération plus global.
Je remercie ceux qui, parmi vous, ont compris que le renforcement continuel de nos coopérations renforce notre puissance collective.