Ils ont pourtant dit à l'inspection qu'ils n'avaient strictement rien entendu. L'un d'eux, qui a depuis été libéré, a précisément dit que, s'il avait entendu quelque chose, il serait intervenu, c'est-à-dire qu'il aurait crié, puisque la porte était fermée. Je ne sais pas ce qu'ils ont dit à la SDAT.
Outre ceux que je vous ai déjà envoyés rapidement, je pourrai, si cela vous intéresse, vous adresser huit ou dix autres documents, que j'ai collectés depuis le mois de juin : par exemple une note, préalable au rapport de l'IGJ, sur l'interdiction pour les auxiliaires de se rendre en salle d'activité lorsque des détenus y sont présents.