D'après le rapport de l'IGJ, les surveillants du PIC suivaient presque systématiquement un « scénario jour » depuis la réouverture de l'établissement.
Lorsque j'ai dit que nous nous appuyions sur la vidéosurveillance en cas de détention tendue, je ne tenais pas compte par ailleurs des changements intervenus à cet égard courant janvier 2022. Je ne contredis pas le rapport de l'IGJ en la matière.
Un manque de formation du personnel a en revanche été relevé, l'agent de surveillance ayant dit ne pas avoir été formé. Je ne me suis pas rendue au niveau des PIC pour voir les icônes et les scénarios proposés. Dans le cadre du marché avec la société en charge des travaux, nous lui avions demandé de former une équipe de surveillants, qui pourraient eux-mêmes devenir formateurs auprès de leurs collègues. Ces travaux ont toutefois pris plus de temps que prévu, rendant la situation insatisfaisante.