Madame Puglierini, lorsque nous vous interrogeons sur de possibles omissions lors de votre audition libre, vous nous dites : « je me suis appuyée sur mes souvenirs », parce que vous n'aviez plus accès à vos archives, etc. Pourtant, dans le cadre professionnel, comme probablement dans d'autres cadres, lorsque des événements graves surviennent, nous avons toujours le réflexe d'examiner ce qui a pu conduire à cette situation. N'avez-vous pas eu ce réflexe de reprendre l'ensemble des événements ayant conduit au décès d'Yvan Colonna, pour les graver ainsi en votre mémoire ?