Il n'est donc pas possible de viser uniquement les personnes en fin de carrière ou celles atteintes d'une maladie professionnelle.
Il me tenait donc à cœur de prendre la parole sur l'article pour vous alerter, monsieur le ministre, sur cette difficulté à légiférer en la matière. Je veux bien travailler avec vous sur le sujet car je ne sais pas comment faire pour réserver ces postes aux collègues qui, en fin de carrière, souffrent de troubles musculo-squelettiques, d'autant qu'il semblerait que nos carrières soient destinées à s'allonger.