Madame la rapporteure, monsieur le ministre, j'ai bien écouté les réponses que vous avez apportées à Mme Ferrari, dont je soutiens les revendications en faveur des infirmières puéricultrices. J'ai toutefois un peu de mal à comprendre vos explications.
Madame la rapporteure, vous avez expliqué que les infirmières puéricultrices n'ayant qu'un bac + 4, elles ne peuvent être reconnues comme IPA, mais les infirmières anesthésistes – je reviens à la charge, je ne lâche pas – ont, elles, un bac + 5. Elles pourraient donc être reconnues comme auxiliaire médicale en pratique avancée. Je me permettrais un trait d'humour : on dit que quand c'est flou, il y a un loup. Je pense qu'il y a un loup !