Je suivrai l'avis défavorable de la rapporteure mais je tiens à apporter quelques précisions. Tout d'abord, le Gouvernement est évidemment très attaché à la qualité et à la sécurité des soins. C'est pour cela que, au moment de s'engager définitivement sur le chemin de la primo-prescription, je puis d'ores et déjà annoncer que nous donnerons un avis favorable à un amendement du groupe LFI – NUPES, qui subordonne la possibilité de primo-prescription à un avis de la Haute Autorité de santé (HAS) et à un décret en Conseil d'État.