Malheureusement, vous n'avez pas répondu aux questions centrales que tout le monde se pose, qu'il s'agisse des riverains, des membres d'associations ou des acteurs médico-sociaux : des haltes soins addictions (HSA) seront-elles ouvertes ? Si oui, combien ? Comment seront-elles réparties sur le territoire ? Feront-elles l'objet d'une concertation avec la population ? S'accompagneront-elles de possibilités d'hébergement ? Vous promettez « des solutions multiples, souples et évolutives », mais il nous faut du concret ! Par ailleurs, je réitère ma demande légitime d'être associée en tant que députée aux solutions qui seront mises en œuvre sur le terrain.