Face à ce cynisme, l'infirmière a fait un burn-out : « J'ai dû la mettre dehors, m'a-t-elle dit. Le soir, je suis tombée sur mon tapis et j'ai oublié d'aller chercher mes enfants. On m'avait mise en échec. »
Si notre vote sera favorable, nous espérons qu'un geste salarial suivra et que des efforts seront faits pour améliorer les conditions de travail des sages-femmes et de tous les personnels hospitaliers. Nous avons fait un petit pas et il n'y a pas de quoi faire la fête, chers collègues.