En conclusion, je souligne que la mise en place des ZFE-m est aujourd'hui indispensable à l'amélioration de la qualité de l'air dans nos métropoles. Supprimer ces zones ou en retarder la création serait faire preuve d'une coupable irresponsabilité compte tenu des chiffres par lesquels j'ai commencé mon intervention. Oui, nous devons faire plus pour répondre aux craintes légitimes de certains de nos concitoyens, et la multitude d'initiatives qui fleurissent sur nos territoires pour verdir nos mobilités, conjuguée à la volonté farouche de notre majorité d'aller en ce sens, sont autant de facteurs de confiance pour l'avenir. Mes chers collègues, je vous le dis tout net : si je n'avais pas la certitude que nous puissions y arriver d'ici à 2032, j'aurais conseillé au ministre d'arrêter de miser sur les ZFE-m. Je suis persuadé qu'on y arrivera.