Tout d'abord, lors de son intervention, d'ailleurs brillante, dans le cadre de la discussion générale, M. Ruffin avait parlé de lexique. Je remarque donc que, depuis le début de l'examen du texte, aucun de ceux qui s'y opposent n'a eu un mot pour les Français qui souffrent, pour ceux qui, même s'ils perçoivent un salaire, ne peuvent plus se procurer des produits de première nécessité.