Dans le cadre du volet « éducation » du plan Marseille en grand, des initiatives pédagogiques innovantes ont été lancées dans les enseignements du premier degré et dans les écoles dites innovantes : classes flexibles, écologie développementale, laboratoires de maths en maternelle – autant de contenus pédagogiques qui rompent avec les habitudes du moment. D'autres projets sont coconstruits avec les équipes pédagogiques, ce qui crée une émulation pour les communautés éducatives concernées, et ils peuvent être concrétisés grâce aux moyens supplémentaires mis à la disposition des enseignants.
Quel regard portez-vous sur ce dispositif pédagogique innovant créé il y a plus d'un an ? Entendez-vous le généraliser ? D'après les contacts que j'ai pu avoir avec les enseignants directement concernés, les retours sont plutôt favorables : ils décrivent une émulation créée au sein de l'équipe, une volonté de produire quelque chose de nouveau, et sont agréablement surpris de voir l'éducation nationale prête à les accompagner dans cette nouvelle manière d'enseigner. Merci, monsieur le ministre, de nous faire part de vos observations.