Le ministre – et le ministère – de l'éducation nationale doivent être à la hauteur de l'enjeu. Car cet enjeu, ce sont nos enfants. Il faut du courage politique – et du courage tout court – pour tenir bon et refuser la soumission de nos écoles. Elles doivent être le point d'ancrage de l'unité nationale de notre pays et former les générations de demain.