J'ai du mal à adhérer à votre analyse de notre dépendance au gaz russe dans le contexte du conflit en Ukraine : comment imaginer que la seule isolation thermique des bâtiments aurait permis à l'Europe d'être complètement préservée d'un choc de même ampleur que la crise des années soixante-dix, choc dont on sait l'impact sur les ménages et sur nos industries – je le constate au jour le jour ?