Nous voulions protéger les littoraux, qui font notre richesse patrimoniale et touristique, de mâts d'éoliennes aussi hauts que la tour Eiffel, en éloignant ces parcs de nos côtes et de la bande des 12 000 nautiques, la plus riche en biodiversité et qui est aussi le périmètre de travail de nos marins pêcheurs qu'il faut entendre et surtout protéger : à nouveau, une fin de non-recevoir.