Nous en sommes d'autant plus convaincus que les surfaces non agricoles permettraient déjà de dépasser les objectifs à atteindre en matière de photovoltaïque.
En ce qui concerne les enjeux de biodiversité, l'entourloupe que représente la réintroduction de la RIIPM, dans la pire de ses versions, nous laisse craindre des atteintes irréversibles au vivant. Pourtant le changement de destination des sols reste la principale cause de perte de biodiversité.