Josep Borrel a dit récemment que EUMAM Ukraine n'était pas seulement une mission de formation, mais constituait aussi la preuve que l'Union européenne faisait du soutien à l'Ukraine sa priorité et resterait à ses côtés aussi longtemps que nécessaire. On peut légitimement en conclure que former 15 000 hommes constitue en réalité un objectif minimal, en fonction de l'évolution du conflit.
Comment appréhendez-vous le démarrage de cette mission, et quelles en sont les perspectives selon vous ?