Les sanctions qui ont été imposées au Belarus avant le déclenchement de la guerre en Ukraine sont actualisées à reculons. Or les zones grises favorisent toujours les agresseurs.
Que faisons-nous pour que les sanctions contre le Belarus, qui peut être considéré comme cobelligérant voire territoire occupé par l'armée russe, soient coordonnées avec celles que nous prenons contre la Russie ? En nous abstenant de le faire, nous offrons nous-mêmes une échappatoire.