Or, comme nous entamerons bientôt quelques semaines de débats sur la question des retraites, si la collègue du groupe Horizons et apparentés me permet cette remarque, entendre invoquer le grand Jaurès par ceux qui vont s'attaquer à un droit social aussi fort, aussi puissant et inscrit dans la chair et dans la vie de millions de salariés de notre pays, ce n'est honnêtement pas à la hauteur. Laisser dormir le grand Jaurès.