Comment accepter que les travaux du Sénat, qui ont représenté des heures de discussion, soient ainsi écartés en quelques minutes ? Comment accepter que nous n'ayons eu que quelques heures dans la nuit de mardi à mercredi pour déposer nos amendements en commission des finances ? Comment accepter que la représentation nationale ait même été privée de discussion générale en nouvelle lecture sur un texte qui engage durablement les finances de notre pays ?
La réalité, madame la Première ministre, c'est que vous refusez le dialogue.