Nous avons choisi d'être incitatifs plutôt que coercitifs. Nous augmentons le plafond du prix d'un véhicule lorsqu'il est hybride. D'un point de vue personnel, je pense que nous pourrions faire varier la prise en charge de véhicules par l'AFM en fonction des émissions de ces véhicules, mais il y aura toujours un député ou un sénateur, des Hautes-Pyrénées ou de Haute-Savoie, qui refusera de sillonner sa circonscription avec un Kangoo – ce que je peux comprendre également.
Il faut tout de même inciter les parlementaires à changer de véhicule, notamment avec la flotte de la maison. Nous procédons par tranches. Lors de la pénurie d'essence, nous avons observé que nous n'avions pas suffisamment de véhicules électriques pour couvrir les besoins.