Comme l'amendement précédent, il vise à porter le SMIC à 1 500 euros net, en commençant par les salariés d'un secteur particulier : la logistique. C'est l'occasion d'illustrer une réalité assez simple, et de dissiper une idée fausse. La plupart des salariés payés au SMIC travaillent dans des secteurs non délocalisables. Par conséquent, l'argument du prétendu coût du travail qui nous est régulièrement opposé – alors qu'il s'agit en réalité du prix du travail dans la compétition internationale – ne tient pas.