Puisque vous souhaitez privilégier le mieux-disant, madame la rapporteure, nous vous proposons de le faire, en étendant l'obligation d'installer des ombrières aux parkings de plus de 250 mètres carrés, et non de plus de 2 500 mètres comme le prévoit l'article 11. Je profite de l'occasion pour rappeler que nous avons adopté le principe d'un cadastre solaire qui pourrait tout à fait intégrer l'étude des potentiels sur les parkings.
Je regrette, enfin, que ma proposition consistant à élargir la fonction de l'Observatoire des énergies renouvelables et de la biodiversité que nous venons de créer en y intégrant l'identification et la mise en avant des potentiels gisements d'énergie n'ait pas été retenue. Le texte soumis à notre examen prévoit d'ouvrir certaines possibilités et d'en fermer d'autres, mais nous devrons bien, à un moment ou à un autre, être capables de définir avec suffisamment de précision où se situent les lieux de production potentiels, pour décider où déployer les énergies renouvelables et comment hiérarchiser les projets. Certains estiment par exemple que poser des panneaux solaires sur les toits serait suffisant, quand d'autres jugent nécessaire de couvrir également les parkings. Nous avons, me semble-t-il, besoin d'y voir beaucoup plus clair.