L'article 2 n'a rien à faire dans ce projet de loi ; il correspond parfaitement à la définition du cavalier législatif, puisqu'il concerne tous les permis d'aménager, tous les permis de démolir et toutes les déclarations préalables, et pas seulement ceux qui portent sur des projets de production d'énergies renouvelables. Si le Gouvernement veut réformer le droit de l'urbanisme, qu'il n'essaie pas de le faire à la faveur d'un texte consacré à un autre sujet !