Je ne pense pas que la Défenseure des droits remette en cause la loi Asap. Je pourrais vous renvoyer à un certain nombre de cas où sont requises des réunions physiques, sur le terrain, qui n'ont rien à voir avec ce dont nous parlons. Elle s'inquiète plutôt de l'illectronisme et de la difficulté d'accès aux services publics : c'est un point important, mais, je le répète, ce n'est pas celui dont nous nous occupons en ce moment.