Cet amendement s'inspire, là encore, de la proposition de règlement d'urgence de la Commission européenne. Il vise à rationaliser la procédure d'octroi des permis applicable au rééquipement – j'insiste sur ce terme – des projets d'énergie renouvelable, en prévoyant que cette procédure n'excède pas six mois, y compris lorsque les projets sont soumis à une évaluation environnementale.