Je rejoins le propos de Mme Batho. J'ajoute qu'en limitant la faculté des commissaires enquêteurs de poursuivre leur enquête, nous réduisons également la phase de confrontation entre leurs analyses et celles, contradictoires, des porteurs de projets, et nous les empêchons de retourner sur le terrain.
J'insiste, ces deux alinéas sont de trop, d'autant qu'ils ne concernent que 1 % des cas – ceux pour lesquels l'enquête publique dure plus de trente jours, comme cela a été rappelé.